à 1935, il travail à l’atelier de André Devambez et du graveur Hermine David. Vivant à Paris jusqu’en 1977, il enseigne le dessin dans des lycées parisiens, tout en exerçant son art. Paris, ville des artistes par excellence en ce début de siècle, permet à Jean Communal de s’imprégner du travail de Bonnard avec ses touches subtiles ou encore de Jacques Villon et Nicolas de Stael. Contrairement à son père plus figuratif et peintre au couteau, le fils lui affectionne les pinceaux et alterne figuratif et impressionnisme. Ses sujets sont variés. Il peint la Savoie, mais également l’Italie et l’Espagne. Il s’intéresse également à la mosaïque, il réalise notamment deux panneaux pour le centre d’apprentissage de Challes-les-Eaux. Il exécute des cartons de tapisserie pour la manufacture d’Aubusson mais aussi des gravures et des dessins de soieries.